Anaïs
Bonjour, je m’appelle Luna et je suis propriétaire d’un petit restaurant de glaces.
C’est le soir j’entre dans ma chambre. Je m’assieds sur mon lit, je prends mes draps avec des motifs de cornets de glace et je plonge dans un sommeil sans rêve.
Le lendemain matin je me lève, j’enfile mes habits, je descends les escaliers, je tourne la pancarte sur « open ». Des gens apeurés arrivent dans mon magasin et disent :
- Avez-vous vu un petit garçon comme ça ? Ils me montrent une affiche c’était un petit garçon avec des cheveux bruns et il s’appelait Gaston.
Puis je dis :
- Non, désolée, mais je vais chercher.
Les deux parents disent :
- Oh merci beaucoup. Puis les parents partirent.
Trois heures plus tard j’avais vendu pas mal de glaces avec cette chaleur. Il faisait 30°c dehors, une vraie fournaise. Puis tout à coup ma glace que j’avais préparée avait disparu.
Quinze minutes plus tard j’avais fouillé partout : ma chambre, les placards, etc… il ne restait plus qu’un endroit où je n’avais pas cherché : «le cagibi » c’est là où je mets les balais…en gros tout ce qui était ménage. J’ouvre la porte et je découvre un petit garçon une glace dans la main et je lui dis :
- Tes parents sont morts d’inquiétude. Pourquoi tu t’es enfui ?
- Parce que mes parents ne veulent jamais que je mange : des glaces, les bonbons…en gros tout ce qui nous fait grossir et ce qui n’est pas bon pour les dents.
- Je vais leur parler.
Cinq minutes plus tard les parents étaient là en train de faire des câlins et des bisous baveux.
Puis je dis :
- Pourquoi ne voulez- vous pas qu’il prenne des bonbons ou des glaces ? C’est pour ça qu’il s’est enfui !
- Mon loulou, c’est pour ça que tu t’es enfui ?
- Oui j’en avais marre de voir tous ces enfants avec des glaces ou des bonbons, dit-il.
- Très bien, à partir de maintenant tu pourras avoir des glaces et des bonbons.
Puis la famille s’en alla.
FIN ^-^
Axel
Dans le quartier. Monsieur Rousseau dit :
- Puisqu’on ne pouvait pas aller à Damgan, nous ferons notre classe de mer ici, à Belle-Île. Vous voyez cette maison à côté du bar avec les volets bleus et le contour des fenêtres rouge, c’est ici l’endroit où nous allons passer la semaine.
Après être entrés.
- Les filles vous allez dormir dans les chambres roses et violettes tandis que les garçons vous allez dormir dans les chambres bleues et vertes.
Tout le monde dit :
- Oui.
Après avoir placé les affaires.
Dring dring. Le téléphone sonne.
- Oui, allô ? dit monsieur Rousseau. Ok...
- Pourquoi vous faites cette tête, maître ? dit Cyprien.
- Appelle tous les élèves ! dit Monsieur Rousseau.
Après que nous soyons tous réunis autour d’une table Monsieur Rousseau dit :
- Nous allons être attaqués par des ravageurs qui détruisent tout. Faites des stocks de nourriture !
En cherchant de la nourriture j’ai trouvé une barre de fer.
La nuit tombe.
Allez au lit !
A 00h12.
- Qu’est-ce que c’est que ce bruit ?
Je me lève et je vois des personnes qui montent par la fenêtre.
- Les gars, levez-vous ! dis-je.
- Pas de problème, qu’est-ce qui se passe ? dit Auxence.
- Regardez !
Je prends ma barre puis je m’en sers comme levier, je retire le grappin et les méchants tombent.
Le jour se lève.
- Vous avez vu des gens qui essayaient de rentrer ? dit Ecclésiaste.
- Oui j’ai cru qu’on allait mourir ! dit Paloma.
- Pourquoi ? dit Milan.
- Parce que Emma, Alix, Shaïna et Anais goûtaient pendant l’infiltration, elles mangeaient des pommes.
- Ha, ha, ok, ha, ha ! dit Adam.
- Mais où est monsieur Rousseau ? dis-je.
- Je crois que je sais ! dit Yanis. Suivez-moi !
Yanis dirige tout le monde vers la cave. Et on voit Monsieur Rousseau ligoté et bâillonné. On lui enlève le scotch.
- Ils mont capturé. Attention derrière vous !!!!!
- Quoi ?!?!?!
- On vous a piégés ! dit le chef des méchants.
- Ne bougez plus ! dit un policier.
- Ok ok.
Le policier s’apprête à le menotter, quand le méchant, nommé Gérard, lui donne un coup de poing puis le vise avec son pistolet. Je fonce dessus avec ma barre, je lui donne un coup sur la tête. Le policier l’arrête.
