Milan
Lors de notre classe de découverte à Damgan, Mr Rousseau avait décidé d'une sortie en mer, sur un grand bateau de pêcheurs. Toute la classe était ravie.
Le jour J, il faisait beau, mais quelques minutes plus tard, le temps a changé... les nuages noirs arrivaient très vite au-dessus du bateau... et là d'un seul coup, l'orage éclata. Tout le monde se mit à crier . Paloma et Shaïna se sont mises à pleureur... Mr Rousseau est resté très calme face à la situation, et nous a dit :
- Milan, Kylian, Adam, Axel, allez vite chercher les bouées de sauvetage... VIIITTEE !!!
Et là, tous en chœur, nous lui avons répondu :
- Oui, chef !!! ce qui l'a fait sourire un bref instant.
A peine nous avions tous mis nos bouées qu'une vague gigantesque frappa de plein fouet notre bateau... CATASTROPHE... le bateau chavira.
Toute la classe a commencé à appeler "au secours, au secours !!!". Nous étions tous à l'eau, mais nous avions nos bouées...
Mr Rousseau nous cria :
- Ne vous inquiétez pas les enfants ! Regardez là-bas !!!
Au loin nous apercevions trois lumières qui clignotaient ... C'était les bateaux des sauveteurs qui arrivaient vers nous. Mr Rousseau avait eu le temps d'appuyer sur le bouton S.O.S. Toute la classe s'est mise à pleurer, mais de joie cette fois-ci. Nous étions sauvés.
Le jour J, il faisait beau, mais quelques minutes plus tard, le temps a changé... les nuages noirs arrivaient très vite au-dessus du bateau... et là d'un seul coup, l'orage éclata. Tout le monde se mit à crier . Paloma et Shaïna se sont mises à pleureur... Mr Rousseau est resté très calme face à la situation, et nous a dit :
- Milan, Kylian, Adam, Axel, allez vite chercher les bouées de sauvetage... VIIITTEE !!!
Et là, tous en chœur, nous lui avons répondu :
- Oui, chef !!! ce qui l'a fait sourire un bref instant.
A peine nous avions tous mis nos bouées qu'une vague gigantesque frappa de plein fouet notre bateau... CATASTROPHE... le bateau chavira.
Toute la classe a commencé à appeler "au secours, au secours !!!". Nous étions tous à l'eau, mais nous avions nos bouées...
Mr Rousseau nous cria :
- Ne vous inquiétez pas les enfants ! Regardez là-bas !!!
Au loin nous apercevions trois lumières qui clignotaient ... C'était les bateaux des sauveteurs qui arrivaient vers nous. Mr Rousseau avait eu le temps d'appuyer sur le bouton S.O.S. Toute la classe s'est mise à pleurer, mais de joie cette fois-ci. Nous étions sauvés.
Anaïs
Tous à coup le bateau bascula et faillit me renverser au passage, on était partis pour Erquy mais une grosse tempête a frappé le bateau et tout le monde s’est affolé. Puis tout à coup une baleine passa juste au-dessus de nos têtes puis alla s’échouer sur une petite île. Je prends mes jumelles et je regarde la baleine. Elle s’était blessée en heurtant le bateau et je dis au capitaine :
- Il faut aider cette baleine ! Elle s’est blessée en heurtant le bateau s'il-vous plaît !
- Bon d’accord, a dit le capitaine.
Cinq minutes plus tard nous étions au près de la baleine et le capitaine dit :
- Allez chercher du bois et des feuilles pour nous protéger de la pluie !
Quelques minutes plus tard j’étais dans une petite forêt, les arbres me protégeaient de la pluie, je regardais autour de moi. Puis je vois un petit tas de branches. Je les pris toutes puis je retournai auprès du capitaine. Je remarquais que j’étais la dernière arrivée, on avait déjà construit des petites cabanes. Je posai les branches par terre puis je me dis : « je ferai ma cabane après » puis j’allai voir le capitaine, il me dit :
- On a trouvé des plantes pour la soigner et je pensais aussi qu’on pourrait s’installer ici.
Le lendemain matin je me réveillai en sursaut, je sors de ma cabane et je vois un bateau. Le capitaine était sur la plage, je me précipitai vers lui et je lui demande :
- Pourquoi il y a un bateau ?
- C’est moi qui l'a fait venir. Il fallait qu’il sache où on était et la baleine est guérie, il va aussi nous aider à la remettre dans l’eau.
Dix minutes plus tard on transporta la baleine dans l’eau puis le capitaine alla voir l’autre capitaine pour lui dire la nouvelle puis il revint vers moi et dit :
- C’est bon.
Un an plus tard, l’île était devenue un super endroit pour les visiteurs.
- Il faut aider cette baleine ! Elle s’est blessée en heurtant le bateau s'il-vous plaît !
- Bon d’accord, a dit le capitaine.
Cinq minutes plus tard nous étions au près de la baleine et le capitaine dit :
- Allez chercher du bois et des feuilles pour nous protéger de la pluie !
Quelques minutes plus tard j’étais dans une petite forêt, les arbres me protégeaient de la pluie, je regardais autour de moi. Puis je vois un petit tas de branches. Je les pris toutes puis je retournai auprès du capitaine. Je remarquais que j’étais la dernière arrivée, on avait déjà construit des petites cabanes. Je posai les branches par terre puis je me dis : « je ferai ma cabane après » puis j’allai voir le capitaine, il me dit :
- On a trouvé des plantes pour la soigner et je pensais aussi qu’on pourrait s’installer ici.
Le lendemain matin je me réveillai en sursaut, je sors de ma cabane et je vois un bateau. Le capitaine était sur la plage, je me précipitai vers lui et je lui demande :
- Pourquoi il y a un bateau ?
- C’est moi qui l'a fait venir. Il fallait qu’il sache où on était et la baleine est guérie, il va aussi nous aider à la remettre dans l’eau.
Dix minutes plus tard on transporta la baleine dans l’eau puis le capitaine alla voir l’autre capitaine pour lui dire la nouvelle puis il revint vers moi et dit :
- C’est bon.
Un an plus tard, l’île était devenue un super endroit pour les visiteurs.
Axel
Sur un bateau, dans le triangle des Bermudes.
Vlam !
- Qu’est ce qui se passe ? hurle Auxence.
- Une vague géante a percuté le navire ! crie Cyprien.
Je crie :
- Il faut envoyer un SOS !
- Je l’ai déjà envoyé ! crie Milan.
- On va couler ! Mettez vos combinaisons ! hurle Ecclésiaste.
Pendant que nous allons chercher nos combinaisons une vague percute le navire et nous fait tous tomber.
Après s’être relevés, on enfile les combinaisons et on plonge dans la mer.
Je crie :
- Faites attention aux barracudas, ils sont en surface !
- Allons plus profond ! dit Milan.
- C’est une mauv…. dis-je avant de me faire couper la parole par Milan qui demande :
- Qui vote pour aller plus profond ?
Tout le monde lève la main.
Je n’ai pas le choix, je dois les suivre.
On ne pourra pas manger et dans cette combinaison en plus, les sauveteurs nous verrons pas, dis-je.
- ça va faire plusieurs heures qu’on nage ! dit Auxence.
- Regardez, une grotte ! crie Cyprien.
- Ne crie pas, ça nous fait mal aux oreilles, dit Ecclésiaste.
Nous nous réfugions dans la grotte.
- C’est bizarre, l’eau ne rentre pas. dit Auxence.
- On va se séparer pour chercher de la nourriture, dis-je.
- Je suis avec Cyprien! dit Milan.
- Auxence, Ecclésiaste et moi, nous allons à droite.
Au bout de quelques mètres, nous trouvons un escalier que nous empruntons, en haut on voit qu’on est sur une île.
Tout à coup, apparaissent deux silhouettes.
Auxence demande :
- C’est qui ?
- C’est Milan et Cyprien, dit Ecclésiaste.
- Regardez c’est le bateau. A l’intérieur il y a une hache et une pioche, dit Cyprien.
Je dis :
- La pioche ne sert à rien. Mais avec la hache, on pourra se faire un radeau en bois.
- D’abord je vais visiter la maison là-bas, dit Ecclésiaste.
- Alors tout le monde vient avec toi, dit Auxence.
- D’abord il faut fabriquer le radeau, ,dis-je.
- Bonne chance ! On te laisse le faire, pendant que nous allons voir cette maison, dit Ecclésiaste.
Plusieurs heures plus tard.
- On est là ! dit Milan.
- J’ai fini le radeau ! dis-je.
- Je crois qu’il n’y en aura pas besoin, regarde ! dit Cyprien.
Au Loin on devine un bateau qui s’approche.
Lorsqu’il arrive à nous, nous montons dedans. Plusieurs minutes plus tard, on se fait surprendre par une autre tempête, puis on voit une pieuvre géante. Une de ses tentacules s’abat sur le bateau et une autre sur l’antenne où se trouve une personne qui saute sur le toit de l’endroit où se trouve le capitaine. Je prends une hache puis je lui coupe une de ses tentacules. La pieuvre ayant très mal, fuit en nous laissant passer.
fin
Vlam !
- Qu’est ce qui se passe ? hurle Auxence.
- Une vague géante a percuté le navire ! crie Cyprien.
Je crie :
- Il faut envoyer un SOS !
- Je l’ai déjà envoyé ! crie Milan.
- On va couler ! Mettez vos combinaisons ! hurle Ecclésiaste.
Pendant que nous allons chercher nos combinaisons une vague percute le navire et nous fait tous tomber.
Après s’être relevés, on enfile les combinaisons et on plonge dans la mer.
Je crie :
- Faites attention aux barracudas, ils sont en surface !
- Allons plus profond ! dit Milan.
- C’est une mauv…. dis-je avant de me faire couper la parole par Milan qui demande :
- Qui vote pour aller plus profond ?
Tout le monde lève la main.
Je n’ai pas le choix, je dois les suivre.
On ne pourra pas manger et dans cette combinaison en plus, les sauveteurs nous verrons pas, dis-je.
- ça va faire plusieurs heures qu’on nage ! dit Auxence.
- Regardez, une grotte ! crie Cyprien.
- Ne crie pas, ça nous fait mal aux oreilles, dit Ecclésiaste.
Nous nous réfugions dans la grotte.
- C’est bizarre, l’eau ne rentre pas. dit Auxence.
- On va se séparer pour chercher de la nourriture, dis-je.
- Je suis avec Cyprien! dit Milan.
- Auxence, Ecclésiaste et moi, nous allons à droite.
Au bout de quelques mètres, nous trouvons un escalier que nous empruntons, en haut on voit qu’on est sur une île.
Tout à coup, apparaissent deux silhouettes.
Auxence demande :
- C’est qui ?
- C’est Milan et Cyprien, dit Ecclésiaste.
- Regardez c’est le bateau. A l’intérieur il y a une hache et une pioche, dit Cyprien.
Je dis :
- La pioche ne sert à rien. Mais avec la hache, on pourra se faire un radeau en bois.
- D’abord je vais visiter la maison là-bas, dit Ecclésiaste.
- Alors tout le monde vient avec toi, dit Auxence.
- D’abord il faut fabriquer le radeau, ,dis-je.
- Bonne chance ! On te laisse le faire, pendant que nous allons voir cette maison, dit Ecclésiaste.
Plusieurs heures plus tard.
- On est là ! dit Milan.
- J’ai fini le radeau ! dis-je.
- Je crois qu’il n’y en aura pas besoin, regarde ! dit Cyprien.
Au Loin on devine un bateau qui s’approche.
Lorsqu’il arrive à nous, nous montons dedans. Plusieurs minutes plus tard, on se fait surprendre par une autre tempête, puis on voit une pieuvre géante. Une de ses tentacules s’abat sur le bateau et une autre sur l’antenne où se trouve une personne qui saute sur le toit de l’endroit où se trouve le capitaine. Je prends une hache puis je lui coupe une de ses tentacules. La pieuvre ayant très mal, fuit en nous laissant passer.
fin